Accueil Culture C’était écrit: Van Gogh et les vandales

C’était écrit: Van Gogh et les vandales

L'opposition entre l’art (symbole du passé) et l’époque actuelle est le symptôme des pensées totalitaires


C’était écrit: Van Gogh et les vandales
Les deux adolescentes après leur jeté de soupe à la tomate. Just Stop Oil/SIPA / 01091666_000007

Les Tournesols de Van Gogh ne sont pas les premières victimes: le vandalisme de l’art s’est inscrit comme une arme vulgaire des idées radicales. L’euphémisme de la «déconstruction» pour ne pas dire la destruction.


« L’art vaut-il davantage que la vie ? » Ce n’est pas le sujet du prochain bac de philo mais la question posée par deux jeunes Anglaises, activistes écolos, qui ont lancé en octobre une boîte de soupe sur Les Tournesols de Van Gogh, exposé à la National Gallery.

Geste politique mais aussi vandalisme pur et simple. Le mot est forgé par l’abbé Grégoire. Député et farouche partisan de la chute de la monarchie, il est néanmoins affolé, comme il le raconte dans ses Mémoires


Article réservé aux abonnés
Pour lire la suite de cet article et accéder à l'intégralité de nos contenus
Formule numérique dès 3,80€
Déjà abonné(e)  ? Identifiez-vous




Article précédent La Grande Guerre et le déclin des hommes
Article suivant L’aventure d’un homme confiné

RÉAGISSEZ À CET ARTICLE

Pour laisser un commentaire sur un article, nous vous invitons à créer un compte Disqus ci-dessous (bouton S'identifier) ou à vous connecter avec votre compte existant.
Une tenue correcte est exigée. Soyez courtois et évitez le hors sujet.
Notre charte de modération