Tonnerre d’applaudissements au tomber de rideau de la première de « Cendrillon », samedi 26 mars.
L’immortel Jules Massenet est décidément mis à l’honneur cette année, la même salle de l’Opéra-Bastille ayant accueilli, il y a un mois à peine, Manon, l’autre opéra-comique archi connu du compositeur inspiré de Thaïs, d’Hérodiade ou de Werther, aux mélodies si délicatement chatoyantes. Tant mieux.

Sous la baguette de Carlo Rizzi, cette nouvelle production mise en scène par Marianne Clément (décors et costumes signés Julia Hansen) tire intelligemment l’adaptation lyrique du célèbre conte de Perrault vers l’époque exacte de sa création, à l’aube naissante de la
