Avec nos politiques, coupables de passivité, les mouvements « antiracistes » sont responsables de la propagation de l’islamisme. Sous couvert d’antisionisme, ces faux gentils ont permis à la haine antijuive de se faire applaudir par la gauche perdue dans ses flatteries musulmanes.
Voyez comme ils mentent : les politiques et les faiseurs d’opinion feignent de découvrir l’affreux visage du Hamas antijuif et anti occidental. En réalité, les couards n’ont jamais voulu dire la vérité sur l’islamisme conquérant qui se déchaîne contre Israël. Depuis trente ans, les « élites » aplaties trompent les Français en récitant l’ode d’une « religion de paix et de tolérance ». Mais le sabre a toujours été l’allié de la « Pax islamica ». Pour avoir supporté avec d’autres le pilonnage des empêcheurs de dire, j’ai pu mesurer la lâcheté de ceux qui dénoncent des racistes et des islamophobes chez les lanceurs d’alerte. Si Boualem Sansal ou Malika Sorel avaient seulement été entendus, la nation n’en serait pas à craindre un scénario à l’israélienne dans ses cités islamisées. « Tous collectivement, nous avons été faibles », a dit Gérard Larcher, président du Sénat, le 11 octobre sur Europe 1, en se fondant dans la masse. Mais seule la lâcheté des dirigeants hébétés a fait le lit de la« peste brune » que Gérald Darmanin dénonçait