… et non dénué de récupération politique!
Non, ce n’est pas parce que nous partagions les mêmes initiales que j’aimais Belmondo !
Ni parce qu’il a accompagné ma jeunesse en particulier et ma vie en général.
Mais parce qu’il était l’un de ces acteurs totalement immergés dans un personnage, toujours le même, toujours bondissant, toujours vivant. Comme le furent, en même temps que lui, avec lui souvent, Gabin ou Ventura. Il était l’As des as, il était le Magnifique, il était l’Homme de Rio ou Cartouche — et toujours
