Pour être présidentiable, Barack Obama avait déjà dû renoncer aux cigarettes (au moins en public, en tout cas). D’après le New York Times, pour être président, il va probablement devoir aussi abandonner un autre vice: le Blackberry. Jusque là, on le ne voyait jamais sans son superphone surfant et mailant à longueur de journée. Hélas, la confidentialité du réseau étant ce qu’elle est, une telle addiction au « Crackberry » est peu compatible avec les impératifs de sécurité de la Maison Blanche. Reste à savoir comment le futur président va pouvoir montrer au monde entier l’ampleur de sa modernité, une fois qu’on lui aura confisqué ce convaincant signe extérieur de jeunesse. Un piercing, peut-être ?
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