Accueil Édition Abonné Après avoir fait l’apologie du terrorisme, il est… dispensé d’arts plastiques

Après avoir fait l’apologie du terrorisme, il est… dispensé d’arts plastiques

Le regard libre d'Élisabeth Lévy


Après avoir fait l’apologie du terrorisme, il est… dispensé d’arts plastiques
Une personne brandit une pancarte lors du rassemblement en hommage au professeur Samuel Paty décapité le 16 octobre pour avoir montré des caricature du journal satirique "Charlie Hebdo" à ses élèves. 18 octobre 2020, plce du Capitole, Toulouse © FRED SCHEIBERr/SIPA Numéro de reportage : 00986517_000015

Même après avoir fait l’apologie du terrorisme, un jeune n’a pas été exclu de son établissement


« Les frères Kouachi avaient raison », ou encore « on n’a pas le droit de montrer des visages ». Ce ne sont pas les propos d’un islamiste aguerri, mais ceux d’un collégien toulousain.

Un « incident » a eu lieu dans un collège toulousain. C’est une histoire de soumission ordinaire, pourrait-on dire. Elle a été relatée le weekend dernier par un tweet de Fatiha Agag-Boudjahlat – professeur et militante laïque – puis reprise par La Dépêche. Mais là n’est pas le pire, le pire est dans la réaction – ou plutôt, l’absence totale de réaction de l’institution scolaire. Bien naïfs ceux qui pensent éviter l’islamisme en jouant la politique de l’autruche.


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