« Sur Internet, devrait régner la loi courante » : ainsi réagit Alain Finkielkraut au projet de loi que présente le gouvernement pour lutter contre le racisme et l’incitation à la haine. Le philosophe trace les grandes lignes d’une liberté d’expression pensée à nouveaux frais, contre les velléités de censure des associations antiracistes et l »‘impunité » totale qui règne aujourd’hui sur la Toile. Enfin, une question subsidiaire le taraude : pourquoi SOS Racisme et le MRAP ne reconnaissent pas le « racisme anti-blanc » qui sévit notamment dans le rap ?
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