Quelques jours après la commémoration des 70 ans de la la libération du camp d’Auschwitz, Alain Finkielkraut analyse la singularité de la Shoah. Malgré la répétition des cérémonies, le spectateur reste « saisi par les photographies des femmes, des enfants, les yeux agrandis, quelques secondes avant leur exécution » que montrent les images d’archive. Pour l’académicien, s’il faut replacer les atrocités nazies dans leur contexte historique, politique et philosophique, « ce crime méticuleux reste à jamais une énigme ».
Vous venez de lire un article en accès libre.
Causeur ne vit que par ses lecteurs, c’est la seule garantie de son indépendance.
Pour nous soutenir, achetez Causeur en kiosque ou abonnez-vous !
Causeur ne vit que par ses lecteurs, c’est la seule garantie de son indépendance.
Pour nous soutenir, achetez Causeur en kiosque ou abonnez-vous !