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Léonora Miano, esclave du ressentiment colonial

Merci pour le chocolat


Léonora Miano, esclave du ressentiment colonial
Léonora Miano Image: D.R.

Dans son dernier livre Impératrice Rouge, Léonora Miano nous invite à réfléchir à tout ce que l’Europe doit à l’Afrique et inversement. 


En rentrant de vacances, j’ai repris mes vieilles petites manies masochistes et j’ai allumé ma radio sur France Inter. Je l’ai allumée à l’heure où d’habitude je l’éteins, après les infos et avant que le sirupeux Augustin Trapenard se livre à ses flagorneries quotidiennes, à ses admirations soumises et gênantes, à la limite de l’obscène et à l’endroit de la célébrité du jour venue faire la lumière sur son ego et la réclame de sa petite production artistique.

Augustin Trapenard glousse de jubilation

Ce matin-là, le métrosexuel obséquieux et aux petits soins recevait la romancière Léonora Miano pour son dernier livre : Rouge impératrice. Elle commença par résumer le propos de son roman, celui d’une Afrique puissante, unifiée et prospère


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Septembre 2019 - Causeur #71

Article extrait du Magazine Causeur




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Cyril Bennasar, anarcho-réactionnaire, est menuisier. Il est également écrivain. Son dernier livre est sorti en février 2021 : "L'arnaque antiraciste expliquée à ma soeur, réponse à Rokhaya Diallo" aux Éditions Mordicus.

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