Trois ans après leur retour au pouvoir, les talibans promulguent une nouvelle loi pour « promouvoir la vertu » et interdisent notamment aux femmes de chanter en public.
C’est le chœur tragiquement silencieux des femmes afghanes. Ces femmes désormais condamnées au silence. C’est le chœur des esclaves asservies par les talibans, mâles fanatiques, débiles, perdus d’âme et d’esprit, coupables d’abyssales folies mystiques, dont la plus pernicieuse de toutes : enchaîner la divinité à leur propre délire.
Ils interdisent désormais aux femmes – leurs mères, leurs épouses, leur sœurs, leurs filles – de faire entendre le son de leur voix en public. Ailleurs donc que dans
