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Affaire Philippe Carli: comment perdre son job en un clic

Quand un « like » devient un aller simple vers la sortie


Affaire Philippe Carli: comment perdre son job en un clic
Le patron de presse Philippe Carli photographié en 2015 © MEIGNEUX/SIPA

Pensée unique. Face à Mediapart et à la meute, il est toujours préférable d’assumer ce qu’on a dit, ou pensé. Parce qu’il s’est excusé pour avoir partagé sur des canaux personnels des idées non politiquement correctes, le patron de presse a finalement dû démissionner. Il aurait mieux fait de dire à ses contradicteurs que ses opinions politiques n’affectaient en rien son travail, estime notre chroniqueur.


Philippe Carli, le président du groupe de presse Ebra (1er groupe de la presse quotidienne régionale, avec les Dernières Nouvelles d’Alsace, Le Dauphiné libéré, L’Est républicain etc.), a démissionné. « Dans l’intérêt du groupe Ebra, j’ai décidé de quitter mes fonctions de président ». Cet homme est bien complaisant.

Son départ résulte d’une lâcheté ordinaire, de sa soumission


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Magistrat honoraire, président de l'Institut de la parole, chroniqueur à CNews et à Sud Radio.

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