Le député d’extrême gauche Andy Kerbrat défraie la chronique. Il a été interpellé le 17 octobre par la police en train d’acheter à un mineur de la 3-MMC (drogue de synthèse), à Paris. Le monde politique se divise sur la question de l’exemplarité. Autre temps, autres mœurs ? Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau et la droite nantaise appellent à une démission qui n’interviendra pas.
C’est une facilité que je m’octroie en évoquant « les députés » pour me faire mieux comprendre alors que je songe précisément au député LFI Andy Kerbrat qui a été interpellé en flagrant délit d’achat d’une drogue de synthèse dans le métro parisien. Il a fait état de « problèmes personnels » et a annoncé « un protocole de soins ».
Je relève que la drogue en question est celle dont avait usé Pierre Palmade et qu’apparemment elle n’est pas destinée à apaiser une difficulté d’être mais à amplifier et décupler dans le temps la puissance sexuelle.
Députés devenus ordinaires
Comme ceci a été souligné
