Après le meurtre d’un musulman vendredi dans une mosquée du sud de la France, la guerre des récits et la guerre sémantique reprennent.
Un spectre hante la France : le spectre de l’islamisme[1]. La plus grave des fractures qui fragilisent la nation reste celle entretenue par l’islam séparatiste et guerrier. Se disant victime d’une islamophobie qu’il faudrait interdire, les avocats de cette idéologie conquérante et totalitaire cherchent à imposer ses interdits. La pénalisation du blasphème et la banalisation de la charia (loi islamique) sont ses buts en vue du califat.
De la récupération politique, mais cette fois pas celle que vous croyez…
Dans cette stratégie, l’extrême gauche en quête d’électeurs assure de sa collaboration. Dimanche soir, place de la République, un « rassemblement contre l’islamophobie » a ainsi été organisé,
