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Lorsqu’en 1971, il fut libéré de sa prison bolivienne, Régis Debray prit secrètement la direction de l’Uruguay, où il fit l’acquisition de ce portrait. [access capability= »lire_inedits »]Il orne désormais le vestibule de l’Institut de médiologie et c’est la seule représentation qui nous soit restée de Jean-Baptiste Botul, père incontesté et néanmoins malheureux de cette belle doctrine philosophique qui aurait pu s’appeler le botulisme si le nom n’avait pas été déjà pris.
José Mujica, Jean-Baptiste Botul réfléchissant à sa prochaine conférence aux néo-kantiens d’Uruguay, vers 1938. Le public savant se reportera à la brochure que M. Debray a consacré à ce portrait, Adieu Jean-Baptiste Botul.
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