Dans Mauvais genre au musée, Didier Rykner dévoile comment les plus grands musées du monde sont gangrenés par le wokisme. De la réécriture de l’histoire de l’art à l’effacement pur et simple, tous les coups sont permis.
Le wokisme n’est pas près de reculer, du moins pas dans le monde de l’art. C’est ce que démontre Didier Rykner dans Mauvais genre au musée, un tour du monde de ces institutions emportées par une vague où, comme dans les universités et dans la vie politique, l’idéologisme le dispute au totalitarisme. Et les établissements français ne sont pas les moins à la dérive.
Le musée doit être un acte résistant
Rykner connaît son sujet : le fondateur de La Tribune de l’art écume les expositions, épluche les catalogues et côtoie les directeurs, commissaires et marchands tout au long de l’année. Son constat est clair : « le wokisme s’insinue partout, dans l’enseignement de l’histoire
