L’académicien relève le défi : oser – comme le peintre l’avait fait avec le célèbre naufrage – disséquer le tableau Le Radeau de la Méduse, de Géricault. Une prouesse sur une prouesse et un livre, La nef de Géricault, ou 300 pages de bonheur.
Une prouesse sur une prouesse. Voilà ce que vient de réaliser l’académicien Patrick Grainville (prix Goncourt 1976 avec Les Flamboyants, aux éditions du Seuil) qui n’a peur de rien. Avec son dernier livre La nef de Géricault (qui tient autant de l’essai, du roman et du récit), il s’attaque à l’un des plus célèbres tableaux du monde : Le Radeau de la Méduse. Il raconte par le menu comment le peintre a mené à bien cette œuvre
