Le président d’Avocats sans frontières Gilles-William Goldnadel revient sur les derniers actes barbares commis au nom de l’islamisme.
Un Syrien à Berlin. Au Mémorial de la Shoah. Il voulait « tuer des Juifs ». Pas loin : il aura poignardé un Espagnol, blanc et chrétien.
À Mulhouse, un Algérien sous OQTF. Il a crié « Allah Akbar ! », assassiné un Portugais et blessé grièvement deux policiers qui ne lui avaient rien fait. En novembre dernier, il avait déjà été condamné pour avoir appelé les musulmans « à se battre pour la Palestine et à prendre les armes pour combattre les mécréants ». L’homme était en liberté. L’Algérie avait refusé, de manière obstinée, de le reprendre. Et la cour d’appel avait refusé la prolongation de sa rétention administrative. S’il n’y a pas ici de mise en danger de Français délibérée, je dois changer de métier.
Entre infamie et douleur
Et puis il y a les Palestiniens
