Habitué aux joutes médiatiques, hier comme dirigeant communiste, aujourd’hui comme chroniqueur politique, Olivier a des tripes et du cœur quand il s’agit de défendre ses idées. «J’aime qu’on me contredise!» pourrait être sa devise.
Ils voudraient que je ne voie pas certaines choses, et que je n’en parle pas. De quoi est-il question ? D’une incroyable pensée hémiplégique qui s’est peu à peu répandue depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche. Il faut ici prendre date car nous n’en sommes qu’au début. Ça va enfler, gonfler jusqu’à devenir un très beau et très gros éléphant dans la pièce.
Quand il m’est arrivé d’en faire l’observation, lors de débats sur les écrans ou sur les ondes, ils ont esquivé. Les plus malicieux ont fait semblant de ne pas comprendre, les autres de ne pas entendre.
