Gilles-William Goldnadel est consterné par le délire antitrumpiste des principaux médias de gauche.
J’ai toujours, on le sait, tenu les journaux de gauche d’une main précautionneuse, et regardé la télévision publique avec des lunettes critiques. Mais la quinzaine psychédélique qui vient de s’écouler aura été tellement pénible à vivre pour les antitrumpistes, que certains d’entre eux sont devenus fous et ont sombré dans le ridicule gazeux le plus hilarant, s’il n’était également affligeant.
Il y a eu d’abord l’affaire du salut hitlérien de Monsieur X, devenu subitement l’Obersturmführer Musk. Pour me moquer, j’ai montré sur la Toile le chef du Parti antisémite en train
