Dans un immeuble chic du 15ᵉ arrondissement, un organisateur de soirées libertines envisage plus de participants. Mairie et voisins crient au scandale. La préfecture tente de freiner l’orgie, mais la loi n’interdit pas les plaisirs privés… La police du fantasme est dépêchée sur les lieux.
Des soirées libertines parisiennes sont dans le collimateur de la mairie et des voisins. Cela se passe à Paris XVe, dans une résidence ordinaire, plutôt cossue. Au sous-sol, on trouve des locaux commerciaux où un mystérieux Z organise des soirées gang-bangs ce qui signifie, explique pudiquement Le Parisien, qu’une femme est placée au centre des attentions de plusieurs hommes1. Les hommes payent 80 euros, et peuvent être 20 maximum. La femme, évidemment consentante, n’est pas rémunérée (il n’y
