Elias d’Imzalène, ce militant islamiste qui a appelé à l’intifada dans les rues de Paris devant le gratin LFI, a tranquillement récidivé face à l’OSCE, cénacle censé œuvrer à la sécurité en Europe. Cet activiste est soutenu par Cage International, une puissante ONG britannique dont la spécialité est d’arroser les réseaux djihadistes qui veulent instaurer un califat mondial
Les images ont fait le tour des chaînes d’information. Le 8 septembre dernier, place de la Nation, en plein cœur de Paris, lors d’un rassemblement en soutien à la Palestine, un militant islamiste connu sous le pseudonyme d’Elias d’Imzalène a lancé un appel à la guerre civile, sous les acclamations de la foule : « Est-ce qu’on est prêt à mener l’intifada dans Paris ? Dans nos quartiers ? Dans nos banlieues ? »
Rapidement signalés à la justice par le ministère de l’Intérieur, ces propos explicitement factieux ont valu à leur auteur, de son vrai nom El Yess Zareli, fondateur du site Islam et info, et du collectif StopZemmour, une comparution devant la 17e chambre du tribunal judiciaire de Paris le 23 octobre. Lors de l’audience, le parquet a requis huit mois de prison avec sursis et 2 000 euros d’amende. Le délibéré sera rendu le 19 décembre.
Ce que l’on sait moins, c’est qu’Elias d’Imzalène, dont Le Parisien a révélé qu’il fait l’objet d’une fiche S depuis 2021, ne se borne pas à mener son combat antirépublicain dans la rue et sur le web. Moins de deux semaines avant son procès, il a pu décliner sa rhétorique haineuse lors de la très respectable
