À la tête du Bistrot des Halles, Vincent Limouzin entretient la tradition bistrotière qui a fait la réputation du ventre de Paris. Dans un décor inchangé depuis les années 1950, il sert une cuisine canaille savoureuse et les vins de vignerons qu’il connaît. Ses clients deviennent vite des habitués et, surtout, des amis.
Le Bistrot des Halles, quand on le connaît et qu’on l’aime, c’est comme une deuxième maison. On y retrouve souvent les mêmes têtes. Et avec le personnel, on finit par avoir l’impression d’être en famille. Quand on y est, on n’a plus vraiment envie d’en sortir. On a toujours envie d’un dernier verre, d’un dernier rire. C’est un bistrot comme on en trouve de moins en moins, surtout à Paris !


Tout cela tient à son patron, Vincent Limouzin. Un sacré gaillard. Un gars à l’ancienne. Rien qu’à voir le colosse, on comprend vite que l’établissement n’est pas végan. Ici, à peine avez-vous commandé un verre, même au comptoir, qu’on vous apporte une petite assiette d’une délicieuse saucisse sèche finement tranchée sans vous demander votre avis. Le comptoir… il est beau ici, il brille ! On adore s’y attarder. On y entend souvent parler de rugby ou de chasse, les deux passions du patron. Les casse-croûtes qu’on y sert à midi font l’âme de l’endroit. Casse-croûte
