Le collectif de droite Némésis organisait un hommage à Philippine place Denfert-Rochereau, hier, à Paris. Des familles touchées par d’autres drames similaires ont apporté leur témoignage au micro. Avec le sentiment d’être de « mauvaises victimes » pour la société, et l’espoir que la question des OQTF non appliquées trouve enfin une réponse.
Ce dimanche 29 septembre aurait pu être un dimanche comme les autres, mais il n’en était rien. Car ce dimanche, précisément, un émouvant hommage à la jeune Philippine s’est tenu sur la place Denfert-Rochereau (Paris XIVème) à l’initiative du Collectif Némésis (fondé par la féministe Alice Cordier, présenté par la presse comme un groupuscule identitaire ou d’extrême-droite) et de Claire Geronimi, victime d’un viol dans le hall de son immeuble, en 2023, par un migrant africain sous OQTF. Devant la foule de près de deux mille personnes, sécurisée par un dispositif de forces de l’ordre et une entreprise de sécurité privée engagée pour l’occasion, nous avons pu observer des pancartes « L’État m’a tuée » ou « Philippine
