La discrétion estivale de l’ancien président de la République, pourtant très friand des combinaisons politiques les plus sophistiquées, est étrange. En juin, en campagne pour les législatives, il demandait à l’Insoumis Jean-Luc Mélenchon de «se taire» pour «vraiment rendre service au Nouveau Front populaire». Alors que de nombreux sujets de fond les opposent, et alors que la plus proche conseillère de Jean-Luc Mélenchon Sophia Chikirou a depuis comparé le hollandisme à des «punaises de lit», bizarrement, le socialiste n’intervient pas dans le débat politique agité de la rentrée.
Loin de moi l’idée d’offenser François Hollande, que j’avais beaucoup apprécié aussi bien lors de l’entretien qu’il avait bien voulu m’accorder dans « Bilger les soumet à la question » que dans sa périphérie aimable et spirituelle. Toutefois je ne voudrais pas qu’on s’interrogeât
