Les Jeux Olympiques ont de tout temps été l’endroit idéal pour promouvoir des idéologies politiques, rappelle notre chroniqueur, qui lui non plus n’a pas aimé la cérémonie d’ouverture préparée par l’équipe infernale Jolly / Boucheron / Slimani / Bürki. De l’autre côté de l’échiquier politico-médiatique, sans surprise, Edwy Plenel salue un super spectacle célébrant « la France de l’émancipation ».
La France d’Emmanuel Macron n’est pas la mienne. Je ne l’ai pas non plus reconnue dans la cérémonie des JO, emplie de stéréotypes sexués et de flatteries à l’air du temps. J’ai vu, dans la mise en scène de Thomas Jolly, une opération politique pour valoriser la nouvelle France diversitaire promue par le chef de l’Etat. 80% des investissements publics ont d’ailleurs bénéficié à la Seine-Saint-Denis, selon Amélie
