Le Conseil supérieur de la Magistrature publie son rapport annuel1. Selon cette institution, ce qui menace l’État de droit, ce n’est pas que des multidélinquants ne soient pas sanctionnés, c’est qu’on critique les juges…
Merci à Jean-Baptiste Roques, directeur adjoint de la rédaction, pour cette pépite ! Le Conseil supérieur de la Magistrature (CSM), l’autorité disciplinaire des magistrats se prononçant notamment sur les nominations, s’inquiète pour l’État de droit. Pourquoi ? Parce que la justice est abondamment critiquée ! « L’autorité des décisions et même la légitimité des juridictions nationales et européennes est contestée », écrit-il. Et ces attaques répétées trouvent « un large écho dans l’opinion publique », s’inquiète-t-il.
L’État de droit en péril ?
Donc, ce qui met en péril l’État
