Habitué aux joutes médiatiques, hier comme dirigeant communiste, aujourd’hui comme chroniqueur politique, Olivier a des tripes et du cœur quand il s’agit de défendre ses idées. «J’aime qu’on me contredise!» pourrait être sa devise.
Chaque jour, au petit matin, le premier message que j’envoie sur les réseaux sociaux est l’annonce d’une « bonne nouvelle ». Ce journal des actualités heureuses, dans une période qui ne l’est pas, a quelque chose de très incorrect. Mais comment ne pas voir, à l’aube, le pire de ce qui s’est passé la veille et le « pas terrible » qui s’annonce. Quand d’autres disent « ce pays est foutu » et en font la chronique quotidienne, quand Hadès, dieu de la mort et roi des enfers, semble être devenu le rédacteur en chef des ondes et des écrans, j’aime déchirer le rideau noir pour faire jaillir la lumière.
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