Pour la gauche, au nom de la liberté d’expression, CNews doit… disparaître. Ou, pour le moins, se conformer à l’idéologie dominante. Une inquiétante régression intellectuelle. Récit.
Mensonges, attaques personnelles, procès d’intention… Les matons des médias ne savent pas quoi inventer pour faire interdire CNews. Morceaux choisis.
Les journalistes de CNews ayant eu l’audace de s’offusquer des manœuvres d’intimidation de Reporters sans Frontières et des menaces du Conseil d’État, le magazine Télérama tente de démontrer la légitimité des remontrances faites à la chaîne d’information. Comme d’autres médias, Télérama estime que, au nom de la liberté d’expression et du pluralisme, CNews et ses journalistes doivent disparaître ou, pour le moins, se conformer à l’idéologie dominante.
Le point culminant de la carrière de Samuel Gontier
Pour dézinguer CNews, tout le monde est sur le pont, à commencer par le maton médiatique d’extrême gauche Samuel Gontier. Sur le site de Télérama, ce spécialiste du petit écran poste régulièrement de longues diatribes contre les opposants à l’ordre médiatico-culturel actuel – le plus souvent de laborieuses transcriptions des propos des récalcitrants accommodés de ce qu’il appelle « des petites touches d’humour et d’ironie », qui sont en réalité de très courtes notes uniformes et paresseuses. Gontier, c’est Daniel Schneidermann en plus fainéant. Même obsession des heures sombres, du ventre fécond, de la bête immonde, mais un vocabulaire plus pauvre, une grammaire encombrée d’une ponctuation énervée et une syntaxe confuse reflétant un désordre intellectuel qui confine à la bêtise. Dans son billet du 15 février 2023, après avoir passé la journée devant la chaîne honnie, Samuel Gontier affirme que, sur CNews, la liberté d’expression est surtout celle « des racistes, des xénophobes, des identitaires, des intégristes, des zemmouristes et des lepénistes ». Original ! Selon lui, la chaîne « musarde sur les chemins complotistes » ; Olivier Dartigolles, Julien Dray et Philippe Guibert ne sont pas vraiment de gauche ; un policier syndicaliste qui se dit ni de gauche ni de droite est vraisemblablement un « apolitique d’extrême droite » ; lors des débats, seuls « des zemmouristes » affrontent « des lepénistes », et seuls « des négationnistes » font face à « des suprémacistes ». Il semblerait que de nombreux représentants de LFI, Jean-Luc Mélenchon en tête, adorent les bulletins
