La rentrée parlementaire a été marquée par la gravité et les fausses urgences : terrorisme, écriture inclusive et punaises de lit ont occupé de longues séances dans l’hémicycle.
Bon, finie la rigolade ! Terminées les journées à arpenter ma bonne terre du Biterrois… Retour à l’Assemblée nationale avec ses longues journées dans l’hémicycle.
Non, non, rien n’a changé
C’est la rentrée. J’ai l’impression de retrouver notre hémicycle dans le même état que deux mois plus tôt. LFI braille toujours autant. Les écolos renouent avec le cirque et ne trouvent rien de mieux qu’arborer, dès la première séance de questions au gouvernement, des tee-shirts siglés contre le réchauffement climatique, strictement interdits par notre règlement intérieur. Et, comble de l’ironie, on apprend que, le matin même, lors de la conférence des présidents, Yaël Braun-Pivet, présidente de notre auguste assemblée, avait remis les choses au clair concernant les chahuts à l’Assemblée avec un impérial « Je ne laisserai plus rien passer. » Ça promet !
49.3 le retour…
Pour finir de nous replonger dans l’ambiance, un petit 49.3 dès le lendemain pour faire passer la loi de programmation des finances publiques 2023-2027. Sans que ça émeuve grand-monde, semble-t-il…
Plein emploi
Ça, vous avez dû en entendre parler. C’était le texte de la rentrée parlementaire : le projet de loi qui remet les bénéficiaires du RSA au boulot. Un dialogue
