Avec de fausses alertes à la bombe, des plaisantins font annuler les cours. Lors d’une manifestation de soutien aux Palestiniens, place de la République, à Paris, on entend scander « Allahu akbar » – le même cri prononcé par les tueurs de profs, de supporters suédois ou le Hamas ! Enfin, les minutes de silence ne sont pas toujours respectées. Il devient impératif d’agir pour que notre jeunesse se ressaisisse.
Une partie non négligeable de notre jeunesse n’est plus du tout en phase avec notre rapport au monde et notre pays. Au lendemain des hommages rendus en l’honneur des enseignants Samuel Paty et Dominique Bernard, sauvagement assassinés par des terroristes islamistes, nous devons tous nous questionner profondément et sincèrement sur le rôle de l’école.
Comment est-il possible que parmi notre jeunesse tant de haine de la France se dessine, s’exprime à demi-mots voire s’expose fièrement, y compris lors des minutes de silence ?
L’assimilation ne fonctionne plus
Bien sûr, la société entière est travaillée par ces sentiments de rejet d’un côté, de déni de la situation de l’autre, entérinant le refus de s’intégrer à la France et donc l’impossibilité
