Les personnalités françaises du sport ou du showbiz, souvent promptes à s’indigner devant les injustices, font le service minimum concernant les massacres en Israël. Le footballeur expatrié, Karim Benzema, par exemple, pleure les enfants gazaouis comme tout le monde mais n’a pas un mot pour les victimes juives.
Depuis samedi 7 octobre, les images insoutenables des attaques du Hamas nous parviennent, révélant l’étendue du massacre perpétré méthodiquement par les terroristes islamistes contre le peuple israélien. Une violence brutale, sanguinaire et barbare s’est abattue sans distinction sur des innocents, des hommes, des femmes, des jeunes et des vieillards, des enfants et des nourrissons. Comment ne pas être saisi d’effroi devant un tel déchainement de sauvagerie qui, hélas, n’est pas animale mais bien terriblement humaine ? Les animaux sauvages, eux, tuent pour se nourrir. Les assassins du Hamas ont traqué, torturé, démembré, brulé vif, massacré des Israéliens, ceux qu’ils considèrent comme des mécréants à abattre, des ennemis à exterminer. Ils ont tué, guidés par leur haine fanatique, et se sont adonnés au pire en y prenant du plaisir. En témoignent les films de leurs tueries.
Omar Sy trop occupé par sa promo Netflix?
Pourtant, en France, devant l’horreur, des polémiques ont surgi en lieu et place de l’union fraternelle avec le peuple israélien. Et comme l’écrit Elisabeth Lévy, hélas, « c’était prévisible, dès les prémices de la riposte israélienne contre le Hamas, l’opinion des foules sentimentales
