Hier, l’apparatchik exemplaire de Jean-Luc Mélenchon s’est encore illustrée. Lors d’un point presse, à l’Assemblée nationale, elle a refusé de répondre à un journaliste qui lui demandait si le Hamas était une organisation « terroriste », et a préféré quitter la salle. Céline Pina dénonce une faillite morale de la gauche, la Nupes étant encore debout à l’heure où elle écrit son analyse.
Alors qu’Israël vient d’être victime d’un pogrom islamiste, que les horreurs constatées s’accumulent (femmes, enfants et bébés tués, gamins enlevés et utilisés comme boucliers humains, prise d’assaut à la Kalachnikov d’une rave-party…) et que les comportements des assassins du Hamas rappellent ceux des Einsatzgruppen, ces fanatiques nazis auteurs de la Shoah par balle, LFI est toujours incapable de condamner clairement les actes de terrorisme du Hamas.

LFI observe la joie de la « rue arabe »
Pourtant les derniers carnages découverts sont particulièrement insoutenables. Les actes de ces islamistes, branche Frères musulmans, sont tellement atroces que l’on voit renaitre sous nos yeux la haine décomplexée qui conduit au crime contre l’humanité. Car ce que l’on constate aussi, c’est la joie de la rue arabe, l’absence de condamnation des pays musulmans, le silence de la communauté musulmane en France et l’absence d’indignation de la gauche culturelle, d’artistes ou de sportifs pourtant friands d’indignation
