Habitué aux joutes médiatiques, hier comme dirigeant communiste, aujourd’hui comme chroniqueur politique, Olivier a des tripes et du cœur quand il s’agit de défendre ses idées. «J’aime qu’on me contredise!» pourrait être sa devise.
J’ai donné rendez-vous ici même, le mois dernier.
Comme on fait son entrée en solitaire dans un saloon en terre inhospitalière, après avoir bouffé la poussière des plaines arides du far west médiatique, je m’approche de la table de Calamity Jane-Lévy pour lui parler des « angoisses » qui nous empêchent de vivre en paix.
Entourée de sa bande de vieux loups efflanqués et de jeunes coyotes à la gâchette agile, elle lance : « Laissez-le avancer, c’est un Peau-Rouge qui vient de la Fête de L’Huma, je le connais, on se calme… » Au fond de la salle,
