Notre chroniqueur, qui a gardé une âme d’enfant, est donc allé voir l’ultime volet des aventures de l’archéologue le plus connu du dernier demi-siècle. Apparemment, il n’a pas été déçu.
N’écoutez pas les grincheux : Indiana Jones et le Cadran de la destinée (réalisé par James Mangold, musique de John Williams, en salles depuis le 28 juin) est un excellent film, qui vous permet de surcroît de vous rafraîchir dans une salle climatisée pendant deux heures et demie. Par ces temps de canicule, c’est appréciable.
81 ans, toutes ses dents et débarrassé de l’insupportable Shia LaBeouf
D’autant plus que vous ne voyez pas passer ces 154 minutes. Contrairement à ce que l’on peut attendre raisonnablement d’un homme qui, ce jeudi, fêtera ses 81 ans, le film pétarade dans tous les sens, avec son lot de poursuites, rebondissements, moyens de transports variés, méchants majuscules, héroïne à la redresse (Phoebe Waller-Bridge n’a pas le physique éthéré d’une bimbo hollywoodienne — d’ailleurs elle est Anglaise — et elle a un cerveau) et intrigue
