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Les « élites », premières responsables du chaos

Et, maintenant, on fait quoi ?


Les « élites », premières responsables du chaos
Ultra-violences à Marseille dans la nuit du 30 juin 2023, après la mort de Nahel. © SENER YILMAZ ASLAN/SIPA

Les « élites », qui prônent la fable du vivre-ensemble depuis quarante ans, se retrouvent aujourd’hui dos au mur et nient le caractère identitaire des émeutes, analyse notre chroniqueur.


La France déglinguée fait honte. Il y a une semaine, les commentateurs de plateaux glosaient avec condescendance sur l’instabilité de la société russe et sur la guerre intérieure déclenchée par Prigojine. Depuis, la fragilité de la République française s’étale aux yeux du monde. La vulnérabilité de la nation ouverte oblige à envisager une possible guerre civile. La situation force, surtout, à écouter enfin ceux qui alertent depuis des décennies sur l’état du pays. Pour avoir voulu manifester, le 13 mai,


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Journaliste, éditorialiste, essayiste. (ex-Le Figaro, CNews, Causeur)

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