Pour le peintre Lilian Euzéby, cette course est un hommage aux « dieux sombres » que sont ces taureaux indomptables. Il puise son inspiration dans ce rite mêlant couleurs et émotions.



Causeur. Votre travail laisse une place importante à la figure du taureau. Qu’est ce qui, chez cet animal et dans le monde de la bouvine, inspire tant le peintre que vous êtes ?
Lilian Euzéby. Ce qui m’intéresse, c’est le sacré. La course camarguaise est liée aux fêtes votives des villages, encore aujourd’hui. Il y a quelque chose de religieux. Les grands-parents y amènent les petits-enfants. C’est une affaire de transmission. Les courses camarguaises

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