« L’école de la République en matière de laïcité doit être un sanctuaire. On ne doit pas avoir les mollets qui flageolent sur un sujet comme celui-là. » Christian Estrosi ne mâche pas ses mots, mais si nos élus ne sont pas avares de rodomontades verbales, leurs actions souvent commencent et s’arrêtent là. Le coup de gueule de Céline Pina.
En fondant ses espoirs sur une réaction de Pap Ndiaye, le maire de Nice parait bien déconnecté de la réalité. En effet, ce que les nombreuses et récurrentes atteintes constatées à la laïcité à l’école démontrent, c’est que l’exécutif n’a pas seulement les mollets qui flageolent, mais bel et bien les genoux qui s’entrechoquent, le périnée qui se relâche et les dents qui claquent dès qu’il est mis en face d’une preuve de l’emprise islamiste sur la population musulmane et de ces incessantes provocations visant à ridiculiser nos lois et nos institutions.
L’école est une cible désignée par l’islam politique, que la loi de 2004 interdisant tout signe religieux rend fou. Les islamistes ont donc décidé de multiplier les provocations : résistance et refus d’ôter le voile, mise en avant de l’abaya pour déstabiliser les établissements et maintenant organisation de prières collectives à l’heure de la pause déjeuner.
Au détour de cette affaire, on apprend, incidemment, que les maires ne
