Accueil Édition Abonné La dérive des continents

La dérive des continents

La géographie à la sauce woke...


La dérive des continents
Carte du monde de Gall-Peters, qui prend en compte les superficies réelles des continents. D.R.

Discussion de salon dans la cuisine. Des vieux, des jeunes, des entre les deux.

–  J’ai lu que, dans un cours de géographie de 4ème, un élève d’origine marocaine avait affirmé que le Maroc n’était pas en Afrique et qu’il n’avait jamais voulu en démordre.

–  Parce que dans sa tête, l’Afrique, c’est uniquement l’Afrique sub-saharienne. Il considère, et ça se défend, que « son monde », à savoir le Maghreb, n’en fait pas partie.

– Si un continent, c’est une grande étendue de terre entourée de mers et d’océans, il a tort. Mais, dans cette hypothèse, il faut que nous acceptions de jouer dans la même division que les Tchétchènes et les Chinois.

Et c’était parti !

Cinq, six, sept continents ?

Pour se mettre en jambe, petit débat sur le nombre de continents. Pour ma part, et je n’étais pas la seule, j’en étais (scolairement et comme dans la chanson de Joseph Lafitte) restée à cinq : l’Europe


Article réservé aux abonnés
Pour lire la suite de cet article et accéder à l'intégralité de nos contenus
Formule numérique dès 3,80€
Déjà abonné(e)  ? Identifiez-vous




Article précédent «Où de vivants piliers»: Régis Debray rend hommage à ses «intercesseurs et éveilleurs»…
Article suivant Les perversités de la fiscalité environnementale
Experte en petits riens

RÉAGISSEZ À CET ARTICLE

Pour laisser un commentaire sur un article, nous vous invitons à créer un compte Disqus ci-dessous (bouton S'identifier) ou à vous connecter avec votre compte existant.
Une tenue correcte est exigée. Soyez courtois et évitez le hors sujet.
Notre charte de modération