Des syndicats politisés et une extrême gauche comédienne font mine de déplorer la « saine colère » observée dans certaines rues, pour menacer le pouvoir et avancer leurs pions.
Quand la mafia veut racketter un particulier ou un commerce, elle le met en garde contre les dangers que représentent pour lui ceux qui pourraient lui vouloir du mal. Elle propose donc sa protection, en échange d’un paiement régulier pour cette tranquillité. Le propos qui lui est tenu peut se dire ainsi: « Si vous n’écoutez pas notre sage conseil, vous allez au-devant de graves problèmes… » Ces problèmes peuvent évidemment se traduire en explosion d’un entrepôt du brave commerçant, voire pire. Lorsque la boutique a sauté, si le bonhomme n’a pas cédé, les mafiosos (auteurs, bien sûr, de l’attentat)
