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Parents vigilants: des milliers de cris d’alarme

Entrisme islamique, wokisme, genre: les témoignages affolants des "parents vigilants", publiés dans le "Causeur" de mars


Parents vigilants: des milliers de cris d’alarme
Au collège, affiches et dessins ornent le hall. ©D.R

Chaque jour, des dizaines de messages sont envoyés à la plateforme de Parent vigilant sur le site: protegeons-nos-enfants.fr. Parents, élèves et professeurs racontent une éducation dévorée par la bêtise idéologique, le conformisme et le renoncement à toute exigence. Dans le privé comme dans le public. Florilège [1].


Wokisme d’atmosphère

• Je suis enseignant dans un lycée professionnel dans l’Essonne. L’endoctrinement idéologique est permanent : écriture inclusive, dérives LGBT et pressions syndicales. Contredire leurs thèses nous expose à des représailles sournoises comme des poubelles vidées dans nos casiers ou menaces sur nos messageries.

• Ma nièce, en sciences politiques et relations internationales à la Catho de Lille, m’a montré les options à choisir pour ses trois années de licence :

– Introduction aux études de genre
– Sociologie de l’ethnicité
– Politique et religion
– Études post-coloniales
– Philosophie de la migration
– Genre, sexualité et lutte moderne

L’intitulé de ce cursus est « La licence de relations internationales offre une solide compréhension analytique et critique de la politique mondiale ».

• Mon fils est en seconde. Le premier devoir demandé par le professeur d’anglais est le suivant : « Vous raconterez l’arrivée en France de l’un de vos parents immigré. »

Expo «Tous migrants», collège J. Brel de Taninges (74)

• Mon fils est en première dans un lycée en Isère. Le premier jour, sa professeure d’histoire-géo a commencé son cours sur les méfaits des chasses d’eau de w.c.. Selon elle, seuls les riches peuvent se permettre de gaspiller l’eau et les citoyens responsables utilisent des toilettes sèches. Cette même prof pratique les « cours inversés » afin de « préserver l’égalité des chances » : elle n’enseigne rien car les élèves doivent apprendre chez eux. Les heures de classe sont consacrées aux exercices et corrections. Tout ceci est confirmé par ses camarades et leurs parents. J’hésite à intervenir auprès du proviseur car je crains que mon fils soit pénalisé.

A lire aussi: Éric Zemmour: «Toute une génération est prise entre wokisme et islamisme»

• Notre fils, en classe de seconde, s’est vu remettre par son professeur de français une notice d’explication pour faire un compte-rendu de livre en écriture inclusive.

• Lors d’une réunion parents/professeurs, j’ai été effaré d’apprendre que des mots de la langue française pouvaient s’écrire de manière phonétique (photo devient « foto », nénuphar devient « nenufar »…) et que l’accent circonflexe n’était plus obligatoire.

• Un DM [devoir à la maison] donné par la prof d’histoire-géo de l’établissement catholique privé Saint-Joseph, à Roquebrune-Cap-Martin demande à l’élève de s’imaginer en Africain capturé par des Européens pour être vendu aux Antilles et travailler dans des plantations. La consigne insiste sur la partie « ressenti » du récit.

• Je suis en première dans un lycée catholique d’Île-de-France. Une propagande anti-droite est menée en cours de sciences politiques. Reconquête, Fratelli d’Italia, Vox, les Démocrates de Suède, Viktor Orban, le parti polonais Droit et Justice sont tous mis dans le même sac de « l’extrême droite néofasciste européenne ». La montée des identitaires est comparée à l’avènement d’Adolf Hitler et du nazisme en Allemagne.

• Le terme « trace écrite » remplace à présent le mot « leçon » ou « résumé ». La déconstruction passe aussi par les mots ! Visiblement, c’est une directive de l’Éducation nationale.

Au mur de la salle des profs

• Je suis en première dans un lycée parisien. En SVT [sciences de la vie et de la Terre], on a parlé de la discrimination de genre pendant deux heures : les moyens de contraception, les types de sport que font les femmes et les hommes, etc. On cherche à nous faire culpabiliser pour ensuite nous déconstruire et nous faire devenir des filles. En Anglais, notre prof nous dit à chaque cours que l’on n’a pas le temps de faire de la grammaire. Les quatre chapitres que nous avons abordés sont : les bienfaits de l’immigration et le multiculturalisme, les gentilles éoliennes et le méchant nucléaire, le genre et les stéréotypes. En histoire-géo, ma prof est islamo-gauchiste. Lorsqu’on a étudié la démographie, elle nous a martelé que sans l’immigration la France serait un pays du tiers-monde et que toutes nos victoires militaires étaient dues aux immigrés. Elle nous explique que le grand remplacement est un fantasme d’extrême droite, que la campagne d’Éric Zemmour est financée par les Russes et que le Z tracé sur les chars russes est le Z de Zemmour. En SES [sciences économiques et sociales], notre professeure a clairement affiché son soutien à Emmanuel Macron. Pour elle, la taxe sur les moteurs thermiques c’est génial, et la fin de ceux-ci c’est formidable. L’Europe est la clé de tous les problèmes et, grâce à elle, l’électricité est peu chère en France.

• Notre fils, en quatrième, a reçu quatre heures de colle pour avoir dit « elle » à un garçon qui a les cheveux longs lors d’une dispute. Durant ces heures de punition, il a dû répondre à un questionnaire bourré de fautes d’orthographe. Si le sens des premières questions est acceptable, les suivantes sont totalement déplacées pour un enfant de 12 ans. Nous ne savons pas quoi dire ou faire car nous craignons que notre enfant soit renvoyé de l’établissement suite à nos remarques.

• Je suis en terminale dans un lycée agricole du sud de la France. Le jeudi 24 novembre 2022, des membres de SOS Méditerranée sont intervenus dans notre classe. J’ai quitté la salle et attendu que l’association finisse son exposé pour retourner en cours. Informés de mon absence, les professeurs m’ont dénoncé et j’ai pris quatre heures de colle. Le CPE m’a imposé d’écrire une lettre de justification, puis j’ai été convoqué par le proviseur adjoint pour me justifier encore. Après un échange musclé avec ce dernier, qui me reproche un « comportement inadmissible », voire « raciste », les quatre heures m’ont finalement été retirées mais si je « récidive », je serai définitivement exclu du lycée.

• Je suis dans un lycée public des Yvelines. En EMC (éducation morale et civique), nous avons eu un oral sur les droits menacés dans le monde. Pour la France, les exemples proposés ont été le droit à l’avortement et le droit au travail pour les immigrés. En cours de droit et grands enjeux du monde contemporain, nous regardons des vidéos de Jean-Luc Mélenchon sur la VIe République. On laisse élèves et parents d’élèves porter le voile, mais une croix est immédiatement sanctionnée par une heure de colle. Il y a aussi une inégalité des sanctions selon l’origine des élèves : les surveillants sont indulgents envers une personne d’origine africaine car elle est « oppressée par le système » mais implacables envers nous autres « privilégiés ».

• Je suis révolté par le sujet du devoir de Français de ma fille, au collège Lakanal, à Sceaux : elle doit rédiger trois arguments en faveur de l’euthanasie. Aucun argument contradictoire n’est demandé.

• Au lycée Montesquieu du Mans, le sujet du devoir de physique est de calculer l’énergie que va avoir une boule de pétanque lancée sur un policier !

A lire aussi: Face aux étudiants militants de gauche, nos facs complaisantes?

Tu seras une femme, mon fils !

• Pour la journée mondiale de lutte contre l’homophobie et la transphobie, le collège de mon enfant a demandé à tous les élèves de porter un t-shirt aux couleurs LGBT.

• Le jour de sa rentrée en maternelle, le fils d’un ami se trompe de toilettes et entre dans celles des filles. Un instituteur le remarque et lui dit : « Tu as le droit d’aller ici si tu te sens comme une fille, c’est normal, ne t’inquiète pas, tu peux être une fille. » L’enfant s’est uriné sur lui et, depuis, refuse d’aller à l’école.

Au lycée Bernard Palissy d’Agen

• Mon fils, en CM1, m’a raconté que l’infirmière scolaire était passée dans la classe pour leur dire que les garçons pouvaient porter des robes. Je suis allée voir l’institutrice et le directeur qui m’ont assuré que l’infirmière était parfaitement dans son rôle. Et quand je me suis plainte de ne pas en avoir été informée par le cahier de liaison, ils m’ont répondu qu’il n’en était pas question car la déconstruction des stéréotypes de genre faisait partie du programme, comme les maths et le français.

• Ma fille est à l’UBO (Université de Bretagne occidentale). Le premier jour, elle a participé à une journée de présentation générale au cours de laquelle elle s’attendait à être renseignée sur les matières, les emplois du temps, le restaurant universitaire, etc. Au lieu de cela, elle a assisté à un défilé d’associations parmi lesquelles des LGBT+ qui leur ont appris l’existence des « cafés capote » dans le hall de l’UBO. Ces rendez-vous visent à faire adhérer les étudiants à l’association. S’ils achètent un café, un préservatif leur est offert !!!

• Mon fils, du haut de ses 5 ans, m’a dit : « Tu sais maman, un garçon peut devenir une fille et une fille peut devenir un garçon. »

• Ma fille, âgée de 4 ans, est scolarisée à l’école maternelle Jules-Ferry de Margny-lès-Compiègne. Lors d’un rendez-vous au sein de l’établissement avec une infirmière du département, on lui a fait passer un test de « conscience de soi ». Elle a dû répondre à la question : « Es-tu une petite fille ou un petit garçon ? » L’infirmière m’a précisé que « certains petits garçons peuvent se sentir petites filles et certaines petites filles peuvent se sentir petits garçons ».

• La crèche collective de mon fils, dans le 5e arrondissement, nous a remis à la rentrée un livret d’information en écriture inclusive publié par la mairie de Paris intitulé Mon enfant à la crèche, informations essentielles pour son accueil. Extrait : « L’égalité fille garçon. Expression des émotions, choix des jeux et traits de caractère. Les professionnel.le.s des crèches sont sensibilisé.e.s à prévenir les discriminations et les stéréotypes de genre, particulièrement enfermant à cet âge précoce. Leur rôle est de laisser émerger les compétences et les appétences des enfants en fonction de leurs désirs et de leurs besoins. »

A lire aussi: Causeur: Rééducation nationale «Stop au grand endoctrinement!»

• École publique, janvier 2022. Les élèves de CM1 ont suivi des interventions faites par des étudiants en médecine sur la sexualité, l’affectivité et le consentement. J’ai volontairement signé l’absence de ma fille à ces horaires-là. Convoquée par la directrice, celle-ci m’a dit qu’elle me signalerait à l’académie car « au nom de l’égalité, je ne peux vous laisser faire cela, l’enseignement est obligatoire, on ne choisit pas les cours auxquels nos enfants participent en fonction de ses convictions ». Trois jours plus tard, j’ai scolarisé ma fille dans un établissement privé.

• Je suis étudiant en droit à Saint-Brieuc. Les matières dispensées relèvent davantage de la propagande que de l’enseignement universitaire. L’un des sujets des partiels de l’année dernière était : « Engendrements et maternités transgenres à l’épreuve de l’état civil : Quelles conséquences pour le droit des personnes ? »

• Lors de l’inscription de notre aînée en petite section, j’ai été très surpris de voir que sur les documents où sa mère et moi devions signer étaient indiqués « PARENT 1 » et « PARENT 2 ». Il s’agit d’une école privée catholique !

Banc «arc-en-ciel» école primaire d’Alénya (66)

• Au lycée Henri-IV, en première année de classe préparatoire littéraire, le cours d’histoire porte sur « les femmes et le genre depuis le xviiie siècle ». Premier cours de l’année : le professeur fait l’appel, s’interrompt et dit : « Il n’y en a pas parmi vous qui veulent changer de genre ? Parce que dans ce cas, l’établissement vous accompagne dans votre transition. » Les cours s’enchaînent avec une avalanche de propos du type « la société française, misogyne et patriarcale », « les prêtres sont pédophiles », « les femmes se faisaient violer par leurs époux au xixe siècle ». Le plus horrifiant, au-delà de la propagande wokiste, c’est bien la focalisation sur la sexualité : pas dix minutes de cours sans que le sujet soit abordé, de toutes les manières les plus graveleuses qui soient, devant des élèves qui ne sont pas tous majeurs.

• Le fils de 17 ans d’un couple d’amis m’a montré les fascicules de propagande LGBT que des associations distribuent au sein du lycée Jules-Vernes de Limours. Elles les encouragent à changer de genre ou à devenir homosexuel. Cet établissement est aussi doté d’un conseiller d’orientation sexuelle qui refuse d’accueillir les élèves hétérosexuels.

A lire aussi: Les hommes à l’école: la débandade

Entrisme islamique

• À Sceaux comme à Bourg-la-Reine, le porc a totalement disparu des menus des cantines scolaires. J’ai aussi été stupéfaite de voir les surveillants du collège parisien de mon fils parler en arabe et saluer en arabe certains élèves. Cela devant la CPE et la chef d’établissement qui ne disent rien.

• Mes enfants sont dans une école élémentaire publique à Saint-Étienne. Dans chaque classe, sur 27 élèves, il n’y a pas plus de quatre « petits Blancs », comme les appellent les autres élèves qui les désignent aussi comme « les gwers », « les cochons », « les tout roses ». Ils subissent insultes, coups, harcèlements, intimidations… les instituteurs demandent aux enfants « privilégiés » de comprendre que leurs petits tyrans ont « moins de chance » qu’eux. Les écoles maternelles et élémentaires publiques de la ville ont retiré depuis longtemps le père Noël ou la fête des Mères. Le porc et la viande non halal sont proscrits des fêtes de fin d’année où l’on est obligé d’acheter un hot-dog halal à son enfant pour qu’il profite de la kermesse comme les autres.

Une lecture parmi d’autres

• Dans cette école primaire, l’équipe éducative ne fait rien en voyant la cantine désertée pendant un mois par la majorité des élèves de CM2 durant le ramadan. Les moqueries et remarques violentes des garçons aux filles sont quotidiennes ; et dans une classe, l’unique élève d’« origine française » et non musulmane a subi des brimades, des accusations mensongères de racisme et a été rejetée par le groupe. (« Il ne faut pas lui parler parce qu’elle ne croit pas en Dieu », etc.) Cette élève en est devenue si stressée qu’elle a dû quitter l’école avant la fin de l’année – avec l’accord de la maîtresse. Dans cette même classe, deux élèves se sont bouché les oreilles et ont fermé les yeux pour protester contre un cours sur la sexualité. Ils ont été envoyés chez la directrice qui leur a dit : « Si ça ne vous plaît pas, il faut aller dans une autre école. »

• Je suis un ancien prof d’EPS. Dans mon établissement, les filles de confession musulmane refusaient de se changer dans le vestiaire des « blanches », utilisaient les w.c. pour se mettre en tenue de sport et refusaient ensuite de jouer avec les garçons. Elles étaient systématiquement dispensées de natation grâce à des certificats médicaux de complaisance.

• La signalétique au sein du nouveau collège Jean-Rostand à Orléans est en français, en arabe, en turc et en portugais. A priori ce n’est pas en contradiction avec la loi Toubon, mais c’est pour le moins étrange. Surtout ne pas signaler mon nom sinon je suis grillé.

A l’université de Reims

• À chaque rentrée, nous devons remplir un document stipulant si nos enfants ont des allergies connues et s’ils mangent du porc. Je suis mariée à un Algérien kabyle, donc notre nom de famille a une consonance maghrébine. Mais chez nous, on mange tous du porc ! Cette tolérance a été signalée à la cantine de mes jumeaux en petite et moyenne sections de maternelle et reconfirmée lors de leur entrée en dernière année. Récemment, mes enfants sont arrivés perturbés à la maison et m’ont appris que Fatima, la « dame de la cantine », leur avait dit qu’ils n’avaient pas le droit de manger du porc. Le lendemain, j’ai eu une discussion avec les différentes maîtresses, en leur rappelant que ça faisait trois ans que mes enfants étaient ici et que depuis trois ans je remplissais le même papier pour le leur confirmer : oui, donnez du porc à mes garçons !

• Je suis jeune enseignant à Épinay-sur-Seine, où les dysfonctionnements sont nombreux. En début d’année, j’ai posé une simple question à mes élèves : « Définis-toi, en un mot. » Ils ne se sont pas définis comme souriant, énergique, sérieux ou blagueur, mais comme tunisien, marocain, maghrébin…

• Depuis maintenant une semaine, mon lycée laisse des jeunes filles de 15-17 ans venir voilées dans l’enceinte de l’établissement. C’est le lycée François-Mauriac, à Andrézieux-Bouthéon.

La «plateforme de référence» des profs d’histoire

• Mon fils de 7 ans vient de rentrer en CE1 à l’école Bourran, à Mérignac, et peut d’ores et déjà apprendre l’arabe ou le turc.

• La fille d’une amie, scolarisée à Villepinte, est en maternelle. Elle demande à sa mère en sortant de l’école : « Maman, c’est où le bled, je veux y aller. » Sa mère lui répond qu’elle a choisi une autre destination pour les vacances et qu’elles partent à l’île Maurice. La petite insiste : « Non ! moi aussi, je veux aller au bled, comme les autres ! »

• En histoire de l’art, j’ai abordé un jour l’art gothique français en relation avec la musique du XIVe siècle. J’ai voulu faire écouter à mes élèves le Kyrie de la messe de Machaut, compositeur emblématique de cette période, quand d’un coup, une élève s’est levée et a pris la porte sans ma permission. Je l’ai interpellée et elle m’a répondu : « Je refuse d’écouter la musique des croisés français, je suis musulmane pratiquante, vous me révoltez ! » Elle a refusé de revenir en cours durant toute la séance. J’en ai fait part à mes collègues ainsi qu’au proviseur qui m’ont opposé une indifférence totale. Je me suis sentie honteuse, impuissante, dans une solitude absolue.

Sans traduction, université du Havre

Assignation

• J’ai été adoptée au Viêt Nam et mes parents ont voulu me faire apprendre le vietnamien au lycée Jean-de-la-Fontaine (Paris 16e). Je me suis retrouvée en cours avec d’autres élèves d’origine vietnamienne et ces derniers m’ont rapidement appelée « sale française » en constatant ma passion pour l’histoire et la littérature. J’ai été victime de harcèlement scolaire de 2009 à 2013. La professeure de vietnamien a protégé mes harceleurs car elle estimait que je l’avais bien mérité et ne faisais « aucun effort pour me comporter comme une Vietnamienne ». Mes parents étaient le seul couple français du groupe et aux réunions de parents d’élèves, ils étaient systématiquement mis à l’écart.


[1] Les noms et prénoms ont été effacés, et les fautes d’orthographe ont été corrigées.

Mars 2023 – Causeur #110

Article extrait du Magazine Causeur




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Elisabeth Lévy est directrice de la rédaction, Jonathan Siksou rédacteur en chef des pages culture

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