Il est intéressant de regarder quels intellectuels ont donné du grain à moudre à la presse de gauche pour dézinguer le film Vaincre ou Mourir consacré à Charette et 1793…
Voir dans un même élan Libération, Télérama ou encore Le Monde se pousser des coudes, afin de désigner celui qui cracherait le plus fort et le plus longtemps sur Vaincre ou Mourir, a en réalité quelque chose de jouissif. Les traits sont tellement grossiers, les critiques tellement abjectes, que les papiers dégoulinent de bile enragée ! Leurs auteurs descendraient en ligne directe des assassins du Comité de Salut Public ou des milliers de bourreaux qui ont répandu le sang de centaines de milliers de Français, femmes, enfants innocents pendant la Terreur, qu’on n’en serait pas plus étonné.



La presse ne s’est pas contentée de dénigrer la qualité de « Vaincre ou mourir ». Elle accuse le film de véhiculer une idéologie, ce qui est habituellement une chasse gardée de la gauche.
C’est somme toute, logique : si, 230 ans après la Révolution, des millions de visiteurs viennent chaque année visiter le Parc du Puy du Fou, sachant pertinemment quoi y trouver, et quelle flamme du souvenir est entretenue là-bas, il n’y a rien d’étonnant à ce que quelques enragés déplorent encore aujourd’hui que l’on n’ait pas totalement exterminé les Chouans et les Vendéens, et avec eux, tous les Français courageux qui se sont rebellés contre les sanglants révolutionnaires.
Des militants politiques engagés
