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Baby sitting à Téhéran

«Juste une nuit» prend le pouls de l’état de décomposition de cette société iranienne en ébullition.


Baby sitting à Téhéran
Affiche du film

Juste une nuit, d’Ali Asgari, le parcours d’une étudiante iranienne et de son bébé – une fille.


Il y a des films qui tombent à pic. A l’heure où l’insane république des mollahs bat de l’aile, Juste une nuit prend le pouls, sans fioritures, de l’état de décomposition de cette société iranienne en ébullition. On y suit, l’espace d’une nuit, à Téhéran, le parcours du combattant d’une jeune étudiante. Elle a eu un bébé – une fille. Ses parents n’en savent rien. Car l’enfant est née hors mariage, d’une liaison avec un garçon dont Fereshteh (c’est son prénom) est maintenant séparée. Quand ceux-ci annoncent


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