La France se déglingue. Pire, elle présente les signes d’une tiers-mondisation galopante. Pénuries alimentaires et de médicaments, dégradations des services publics, détérioration des villes, délitements industriel et politique, explosion de la violence et de l’immigration illégale… Bientôt, notre société n’aura qu’une caste de puissants et une masse de misérables.
C’est le tiers monde ! Cette phrase, on l’entend de plus en plus souvent, que ce soit au bistrot ou sur les plateaux de télévision. Quand j’étais collégienne, on a cessé de parler de pays sous-développés, terme jugé offensant, pour préférer celui de pays en voie de développement. Eh bien nombre de Français ont désormais le sentiment que leur pays est en voie de sous-développement – ou de tiers-mondisation.
On ne saurait recenser tous les signes de cette dégringolade tant ils sont nombreux. N’en déplaise aux belles âmes, le premier, en tout cas le plus visible, est la présence sur notre sol de nombreuses populations non seulement venues du tiers monde, ce qui dans un paradis républicain n’aurait aucune importance mais qui, souvent, en ont conservé les mœurs voire l’anthropologie, comme dans ces familles pléthoriques composées d’un homme, de ses épouses et de leur nombreuse descendance. L’arrivée massive de demandeurs d’asile devenus des immigrés clandestins s’est traduite par le retour de véritables bidonvilles, plantés au bord des autoroutes. Ailleurs, ce sont des batailles
