En France, on dit que l’insécurité est rampante. Au Salvador, autrefois le pays le plus violent d’Amérique latine, le président a montré qu’on peut surmonter ces problèmes si on fait preuve de suffisamment de volonté politique.
Cadet d’Emmanuel Macron, Nayib Bukele, président du Salvador, ne fait pas dans l’art du « en même temps ». Résolu à endiguer le fléau des maras, ces bandes qui terrorisent les Salvadoriens – en un seul week-end, 87 personnes avaient été assassinées par ces criminels tatoués de la tête aux
