Accueil Culture Un viol, un meurtre, une exécution, un suicide: «Va, Tosca!»

Un viol, un meurtre, une exécution, un suicide: «Va, Tosca!»

Ce n’est plus un opéra, c’est un thriller!


Un viol, un meurtre, une exécution, un suicide: «Va, Tosca!»
Saioa Hernández et Bryn Terfel © Vincent Pontet / Opéra de Paris

On donnait samedi pour la rentrée de l’Opéra la première d’une série de représentations de Tosca, l’opéra composé en 1900 par l’Italien Giacomo Puccini. Le président Macron et son épouse étaient présents dans la salle.


Ce samedi, pour l’ouverture de la saison lyrique sous les auspices de Puccini, que de beau linge, que de beau linge ! À la fin du premier entracte, juste avant le lever de rideau du deuxième acte de Tosca, apparaissent incognito, tapis dans la loge au noir tablier du premier balcon, sur la gauche dans l’immense salle de l’Opéra-Bastille, Emmanuel et Brigitte Macron, en chair et en os. Le couple présidentiel est flanqué de Rima Abdul-Malak, la neuve ministre de la Culture qui succède à Roselyne Bachelot. Mais où est donc passée Roselyne ? Dans le rang réservé aux « huiles » officielles, l’immortel Jack Lang (et Monique) coudoient l’actuel ministre de l’Éducation nationale, Pap Ndiaye – et Madame. Bref, la première de ce must absolu de l’art lyrique était presque un raout d’État. 

Tosca (C) Vincent Pontet / Opéra de Paris

Giacomo Puccini adapte Victorien Sardou

Créé en à Rome en 1900 et représenté trois ans plus tard à l’Opéra-Comique parisien, le fameux


Article réservé aux abonnés
Pour lire la suite de cet article et accéder à l'intégralité de nos contenus
Formule numérique dès 3,80€
Déjà abonné(e)  ? Identifiez-vous




Article précédent Crise énergétique: l’hiver vient
Article suivant Guerre du feu et psychanalyse des entrecôtes

RÉAGISSEZ À CET ARTICLE

Pour laisser un commentaire sur un article, nous vous invitons à créer un compte Disqus ci-dessous (bouton S'identifier) ou à vous connecter avec votre compte existant.
Une tenue correcte est exigée. Soyez courtois et évitez le hors sujet.
Notre charte de modération