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Abdeslam demeure un sans-grade du djihadisme qui essaye de se présenter à son avantage

Le regard libre d'Elisabeth Lévy


Abdeslam demeure un sans-grade du djihadisme qui essaye de se présenter à son avantage
Salah Abdeslam filmé dans les rues de Bruxelles, 2015. Sipa.

Après avoir longtemps refusé de répondre, le terroriste a finalement eu un dialogue avec une avocate des parties civiles hier, Maître Claire Josserand-Schmid. Il lui a notamment expliqué pourquoi il aurait renoncé à se faire exploser le soir des attentats. De là à y voir comme Le Monde un « petit miracle »…


Au procès des attentats du 13 novembre 2015, Salah Abdeslam devait enfin briser le silence. C’est du moins ce qu’espéraient les parties civiles, venues en grand nombre au tribunal hier mercredi.

Mardi 29 mars, Mohamed Abrini, le convoyeur, avait prétendu, sans convaincre d’ailleurs, qu’Abdeslam l’avait remplacé au pied levé parce que lui-même avait renoncé à participer aux attentats… Les parties civiles attendaient donc la version de Salah Abdeslam. Mais dès le début, malgré l’insistance


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