La Corse est une île trop belle et la plupart de ses habitants des citoyens trop estimables pour qu’on ne se soucie pas d’elle et d’eux.
Les manifestations violentes, des blessés dont 23 CRS, le tribunal d’Ajaccio incendié, ne cessent d’exprimer, sur un mode inadmissible, la colère corse à la suite de l’agression d’Yvan Colonna – toujours entre la vie et la mort – par un djihadiste laissé seul avec lui dans la salle de musculation de la prison d’Arles. Le forcené était pourtant connu pour de multiples et violents incidents. Il a affirmé avoir commis cet acte à la suite « d’un blasphème », car sa victime aurait « mal parlé du Prophète ». Cette tentative d’assassinat a duré huit minutes et il a fallu encore quatre minutes pour qu’on porte secours
