Accueil Édition Abonné Une foi n’est pas coutume

Une foi n’est pas coutume

Un pronom personnel peut tout changer


Une foi n’est pas coutume
D.R.

« Que celui qui n’a jamais péché lui jette la première pierre ! » Nous sommes tentés de citer le Christ lui-même pour venir à la rescousse d’un prêtre américain qui, pendant plus de deux décennies, ne prononçait pas la « bonne parole » en administrant le premier des sept sacrements.


Dans l’Arizona, la procédure baptismale donne raison à Victor Hugo : « La forme, c’est le fond qui remonte à la surface. » Le 1er février, le prêtre américain Andres Arango


Article réservé aux abonnés
Pour lire la suite de cet article et accéder à l'intégralité de nos contenus
Formule numérique dès 3,80€
Déjà abonné(e)  ? Identifiez-vous

Mars 2022 - Causeur #99

Article extrait du Magazine Causeur




Article précédent Guerre en Ukraine: l’énergie au cœur des débats
Article suivant Corse: quand les choses traînent, la situation s’envenime

RÉAGISSEZ À CET ARTICLE

Pour laisser un commentaire sur un article, nous vous invitons à créer un compte Disqus ci-dessous (bouton S'identifier) ou à vous connecter avec votre compte existant.
Une tenue correcte est exigée. Soyez courtois et évitez le hors sujet.
Notre charte de modération