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Rien dans les poches, tout dans le slip


On a enfin compris pourquoi la Réserve fédérale américaine n’avait pas vu venir la crise : son patron, Alan Greenspan, était occupé à mater le slip de ses concitoyens ! Tout s’éclaire. Slip, boxer, shorty, caleçon, string ou kangourou de grand-pa’ : Alan Greenspan n’était pas spécialiste de politique monétaire, comme certains s’étaient laissés prendre à le croire, mais chef du rayon lingerie au Wallmart de la 6e Avenue. The Huffington Post nous apprend, en effet, que l’ancien patron de la Fed tenait pour un indice économique sérieux les ventes de slips masculins aux Etats-Unis ! Selon lui, les hommes achèteraient moins de sous-vêtements par temps de crise, se résignant plus facilement que les femmes à porter leurs anciennes petites culottes plutôt que de claquer leur argent dans de nouvelles. Donc, si les marchés ont le moral dans les chaussettes, c’est que les consommateurs américains ne changent pas assez de slip. L’ancien gourou de la finance mondiale avait le tendanciel tendancieux.



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