Le féminisme au détail comme le masculinisme !
Je sais qu’on risque le pire si on ne se déclare pas fanatique de la notion de parité. Pour ma part, elle m’a toujours gêné non pas à cause d’une quelconque misogynie mais au contraire parce qu’elle prétend apposer sur l’immense champ des possibles, des virtualités, des dons et des compétences un quadrillage qui mécaniquement proposerait une approche quantitative au lieu d’une appréciation qualitative.
La parité, c’est pas perdu pour tout le monde…
Un exemple gouvernemental m’est apparu très signifiant parce qu’il a montré à quel point le dogme était l’ennemi du bon sens. François Hollande président, on nomme par raccroc Christiane Taubira garde des Sceaux parce qu’elle était une femme et qu’il convenait d’avoir une égalité parfaite dans le gouvernement entre les hommes et les femmes. La conséquence de ce choix calamiteux est qu’on s’est privé d’un homme, André Vallini, à qui le poste avait été promis et qui aurait été fait pour lui.

La parité, aussi pétrie d’humanisme qu’elle apparaisse,
